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Fontières
Chaque soir,
à l'orée de la nuit,
la parenthèse
s'ouvre.
Les mots,
S'étirent et se réveillent
des pages de mon herbier
ouvert.
Couleurs,
vibrantes et en relief
se mêlent,
se perdent.
La Valse,
déliée des illusions
passage d'un monde
à l'autre.
Bientôt,
Je rêve, écris et vis
sans distinction.
Libre.
Et le matin,
soudain,
Assassine tout ce théâtre!
Je n'ai pas le temps
De renaître...
Si tôt!
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